2012/11/19

Roger Waters au Stade de France en 2013 avec "The Wall" - culturebox, 15/11/2012

Roger Waters, membre fondateur de Pink Floyd et principal créateur du mythique opéra-rock "The Wall", a annoncé jeudi une nouvelle tournée européenne des stades l'été prochain, avec une halte le 21 septembre au Stade de France, ultime date de la tournée.



Cette tournée de 25 dates débutera le 20 juillet en Belgique au festival rock de Werchter et fera étape notamment à Rome le 28 juillet, Athènes le 31, Istanbul le 3 août, Oslo les 14 et 15 août, Berlin le 4 septembre, Amsterdam le 9, Londres le 14 et à Dublin le 18 septembre.

La tournée des stades, on y prend goût...



L'ancien bassiste de Pink Floyd, qui présente "The Wall" en tournée depuis 2010, a expliqué lors d'une conférence de presse qu'il avait réadapté l'opéra rock spécialement pour les stades parce qu'il "voulait vraiment retourner en Amérique du sud" où il n'y a pas de salles de concert. Une tournée des stades a ainsi eu lieu là-bas entre mars et avril 2012.
"Il y a quelque chose d'extrêmement gratifiant dans le fait de communier avec autant de gens", a-t-il confié. "En 1975-1977, quand nous jouions avec Pink Floyd dans des stades, je n'aimais pas beaucoup ça. J'avais l'impression que nous étions déconnectés des gens mais en fait je pense que cette déconnexion était celle qu'il y avait au sein du groupe plutôt qu'entre nous et le public".

Ne comptez pas sur David Gilmour


Roger Waters a précisé qu'il y avait peu de chance que David Gilmour, chanteur et guitariste de Pink Floyd, le rejoigne sur scène comme il l'avait fait au O2 Arena de Londres l'an passé. "Je n'ai pas parlé avec David à ce sujet", a-t-il dit, "je pense qu'il est à la retraite".


Un opéra-rock qui fait toujours salle comble


"The Wall", 11e album de Pink Floyd paru en 1979, est un opéra-rock racontant la vie d'un anti-héros, Pink. Oppressé dès son enfance par sa famille et l'école, il construit un mur imaginaire autour de lui pour se protéger. Devenu rock star, Pink sombre peu à peu dans la folie au point de se prendre pour un dictateur fasciste, avant de se révolter et de détruire son propre mur.
Le spectacle a été joué près de 200 fois de part le monde devant plus de 3,3 millions de spectateurs.
Pour expliquer ce succès qui ne faiblit pas avec les années, le Britannique, qui vit désormais à New York, a estimé "que les gens comprennent que c'est sincère. Je ne prétends rien. J'écris ce que je ressens, il n'y a pas d'artifice".

From www.francetv.fr/culturebox


No comments:

Post a Comment